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            LES FONDATRICES




Almaï est née de racines mêlées, d’envies croisées, de terres imbriquées.


Alexandra a grandi entre la Colombie et la France, ses deux pays d’origine. Deux pays qu’elle a toujours cherché à lier, unir et enlacer. En grandissant, elle a réalisé que c’était la terre et ses fruits qui pouvaient faire office de trait d’union. D’un côté, la garrigue provençale de son enfance et les plantes dont ses grands-parents s’occupaient amoureusement. Laurier, lavande, thym, romarin. De l’autre, les contrées fertiles des Caraïbes, les champs de tabac où évoluait son grand-père, les arbres fruitiers et les fleurs adorés de sa grand-mère et de sa mère. Cette volonté de mettre en valeur et de respecter les richesses infinies offertes par une terre féconde, Alexandra l’a retrouvée chez les artisans qu’elle a pu rencontrer lors de ses multiples voyages dans toute la Colombie. Très tôt, l’idée d’appuyer leur travail, de les aider à préserver ces traditions et de le faire connaître a commencé à germer.




 






 

Mairet a grandi sur la côte Caraïbe, entre Cartagena et Santa Marta, ville nichée au pied de la Sierra Nevada, d’où est originaire sa famille. A son adolescence, elle y revient sans cesse, à la recherche de traces de son père, disparu trop tôt. De ses origines indiennes et africaines elle sait peu de chose. Mais rapidement et instinctivement, elle se passionne pour l’histoire des indiens Kogi, gardiens menacés de ces terres. Elle s’intéresse tout particulièrement à leurs mochilas, des sacs tressés main, leurs vêtements, leurs bijoux, dont elle ne se sépare jamais. Quelques années plus tard, elle part vivre en Argentine, puis en France. Elle observe les modes de consommation frénétique, s’y perd elle-même parfois et enfin, essaie de trouver des voies alternatives. Elle réalise qu’elle aimerait trouver des produits dont elle connaîtrait l’histoire, avoir une idée de ceux qui ont contribué à les façonner. Elle garde en tête ses années à Santa Marta, ses liens de cœur avec les Kogis, leur artisanat riche et complexe.








C’est à ce moment-là qu’Alexandra et Mairet se rapprochent. De patios tropicaux, en bistrot parigots, de conversations enflammées en imaginaires partagés, naît, en même temps qu’une amitié, un projet, guidé par une vision et une philosophie communes. Chérir et respecter le vivant, protéger des savoir-faire aujourd’hui menacés et les faire connaître, insuffler de nouvelles idées tout en s’inscrivant dans une tradition ancestrale. Alexandra et Mairet se mettent à rêver de tisser un lien entre ces communautés peu connues et ceux pour qui les produits jetables et formatés n’ont plus d’attrait.

Derrière chaque produit se cacheraient une plante, une terre et des gestes centenaires ; un visage, une lignée, et mille virtuosités. De leurs deux prénoms tissés, de ce rêve partagé, de ces explorations joyeuses naît Almaï. L’aventure ne fait que commencer…










C’est l’histoire d’une palme, la feuille du palmier. Ou plutôt, d’une quantité innombrable de palmes. Celle aussi d’un pays et de ceux qui y vivent. Ou comment les femmes et les hommes d’un des territoires les plus riches au monde ont tissé leur vie autour de ces feuilles tropicales emblématiques.



Almaï propose des pièces traditionnelles uniques fabriquées par des communautés colombiennes, à partir d’un matériau bien particulier : les fibres de palme.

A chaque pièce, sa plante, le savoir-faire qui y est attaché, et l’histoire des familles qui ont su le préserver.





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